Avez-vous été « diagnotiqué·e » bipolaire ?
Je vous invite à consulter la 📹 vidéo intitulée « Profits macabres, l’histoire des drogues psychiatriques« , dont la teneur renforce les nombreux témoignages reçus en cabinet.
Les psychotropes alimentent une industrie psychiatrique de 330 milliards de dollars, sans le moindre traitement efficace. Le coût en vies humaines est encore plus dévastateur : ces drogues psychiatriques tuent à l’heure actuelle près de 42.000 personnes par an. Et le bilan ne cesse d’empirer. Ce documentaire prenant, qui contient plus de 175 interviews avec des avocats, des experts de la santé mentale, des familles de victimes et d’anciens patients rescapés, révèle l’horreur des drogues psychiatriques et dénonce une entreprise commerciale très lucrative, sans pitié et bien huilée.
Bipolaire ?
Pour rappel, la bipolarité est une pathologie psychiatrique dans laquelle les personnes oscillent entre états maniaques et états dépressifs.
Un exemple parmi tant d’autres : celui d’une amie trentenaire « diagnostiquée » bipolaire par l’ordre psychiatrique fin 2012.
Anesthésie de la conscience
Face à ses traumatismes, dans un environnement familial où la parole y était taboue surtout lorsqu’il s’agit de pédophilie, elle s’était alors dirigée vers plusieurs professionnels de la psychiatrie, espérant écoute et bienveillance. Au contraire, elle y trouva froideur, incompréhension et dont l’unique solution fut de l’interner en psychiatrie !
15 jours d’internement, de traitement chimique lui auront été fatals ! Après injonction de Prozac, celle-ci s’est jetée sous le TGV à Colmar en 2013.
Parce qu’elle était mon amie, ce fait marquant m’a demandé à réfléchir sur l’état profond de nos sociétés.
Thérapeute depuis, j’entends régulièrement des témoignages similaires. Je songe à cette octogénaire, pour qui la « mort sur ordonnance » lui a été prescrite. Elle avait perdu sa joie de vivre suite au décès de son époux avec lequel elle venait de fêter les noces d’or.
Une séance d’hypnose aura suffit. Ses émotions accueillies (exprimer son chagrin est normal…), son deuil alchimisé, elle décida d’arrêter de s’empoisonner de se médicamenter.
Cerise sur le gâteau : prise de conscience +++, perte de poids +++.
Réaction des représentants de la santé : réprimandes et culpabilisation. Me rapporta t-elle par téléphone, heureuse d’avoir réapproprié son pouvoir de guérison. 🌟
Les firmes pharmaceutiques et majoritairement les psychiatres sont des frères siamois unis par le portefeuille (Dr Tal SCHALLER en parle ce 15 octobre lors de l’émission INFO EN QUESTION #19).
Se sentir mal dans ce monde, tel qu’il est dirigé, est une réaction saine face à la folie financière et l’élitisme.
Belles vues à toutes et à tous !