À ceux qui n’ont pas les mots, mais ont tout donné
Hommage vibratoire aux animaux, et à ceux qu’on sacrifie dans le silence J’avais 7 ans. Mon père tenait absolument à ce qu’on regarde le journal de 20h à table, tous ensemble. C’était la routine, presque sacrée. Ce soir-là, dans le vacarme des couverts et les silences tendus d’un repas figé, un reportage a surgi. Je me souviens encore du frisson...